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Promenades de papier. Collections de dessins 18ᵉ siècle de la Bibliothèque nationale de France
13 mai > 28 août 2023
L’exposition présentée par le musée des Beaux-arts de Tours a été conçue par la Bibliothèque nationale de France, Paris, et le Clark Art Institute, Williamstown Massachusetts, USA.
Y sera présentée une rare sélection de près d’une soixantaine de pièces d’artistes éminents du 18ᵉ siècle tels que Charles-Antoine Coypel, Jean-Honoré Fragonard, François Boucher, Jean-Baptiste Greuze, Anne-Louis Girodet-Trioson, Gabriel de Saint-Aubin ou Étienne-Louis Boullée.
Les oeuvres exposées, pour la plupart pour la première fois, du dessin préparatoire au dessin définitif, des vues de paysages aux planches de botanique en passant par le portrait, l’architecture, le voyage et l’actualité, rendent compte de l’intensité et de la diversité des usages du dessin au siècle des Lumières.
Les pièces majeures des fonds encyclopédiques de la BnF révèlent à quel point le dessin était devenu une activité s’étendant à tous les domaines de la création artistique et de la vie quotidienne.
Ne se limitant plus à l’atelier du peintre, le dessin s’impose comme un mode de création autonome.
Présentées aux côtés d’albums, de carnets de croquis, d’estampes et d’appareils optiques, ces feuilles montrent que le dessin était un outil essentiel pour les artistes et amateurs d’art soucieux d’observer et de rendre compte des changements sociaux et des découvertes géographiques.
Une sélection de dessins du 18ᵉ siècle du Cabinet des Arts graphiques du musée des Beaux-arts de Tours (Boucher, Vien, Cassas...) vient augmenter le prêt exceptionnel de la Bibliothèque nationale de France.
L’étoffe des Flamands. Mode et peinture au 17ᵉ siècle
9 juin > 2 oct. 2023
L’étoffe des Flamands dévoile une approche inédite ducostume et de son évocation par les écoles du Nord au 17ᵉ siècle. Scènes de cabaret, portraits bourgeois austères caractéristiques de la Hollande protestante, mais aussi portraits aristocratiques et princiers, dépeignent l’ensemble des classes sociales. Au-delà de ces représentations picturales, c’est toute la société qui fait l’objet d’une analyse minutieuse à travers l’étude des dimensions commerciales, économiques et sociales de la mode.
Les tableaux dialoguent avec des dessins, des gravures, des documents historiques, des éléments de vêtements et pièces de tissus anciens, mais également avec deux répliques de costumes permettant de saisir les différentes textures représentées et l’agencement des habits.
Fruit d’un partenariat entre les musées des Beaux-arts du Mans, de Tours et d’Angers, cette exposition prend comme point d’appui les collections de peintures des écoles du Nord (Flandres et Pays-Bas). L’étoffe des Flamands permet au public de découvrir des chefs-d’oeuvre comme l’Autoportrait de Jacob Jordaens du musée d’Angers, la série des Sibylles de l’atelier de Jan van den Hoecke du musée du Mans et de redécouvrir des oeuvres restaurées pour l’occasion comme le Portrait de Jeune Femme de Bartholomeus van der Helst – icône flamande du musée de Tours.
Jeudi 8 Juin
19h > 21h. Les Visiteurs du Soir : De fil en aiguille, les Flamands à la mode. Voir ci-dessous
Samedi 10 juin
16h. Une Heure / Une OEuvre : Vlieger, huyck, fraises et pourpoints : la mode néerlandaise au Siècle d’or. Voir ci-dessous
B. A. b’art. Camille Alaphilippe, Caïn après la mort d’Abel, Prix de Rome 1898
Samedi 3 / 10 / 24 juin, 11h, 14h30, 15h30 et 16h30
Camille Alaphilippe (Tours, 1874 – Algérie, après 1934) est d’abord élève de François Sicard à l’École des Beaux-Arts de Tours, avant de poursuivre sa formation à Paris. Il remporte en 1898 le Grand Prix de sculpture sur un sujet, tiré de la Genèse, Caïn après la mort d’Abel poursuivi par la vengeance céleste. Ayant tué son propre frère, Caïn est le premier meurtrier de toute l’histoire de l’humanité, et à ce titre il est condamné à errer sans fin sur la terre avec sa famille.
Fière du succès de son protégé, la Ville acquiert l’année suivante cet exemplaire en plâtre auprès de l’École nationale des Beaux-Arts. Alaphilippe est également l’auteur du groupe en marbre Les Mystères douloureux, qui orne le jardin Mirabeau, non loin du musée. Il connaît ensuite une certaine célébrité grâce à ses oeuvres en grès polychrome, comme le grand relief La Messe de saint Martin, qui se trouve dans la basilique Saint-Martin de Tours.
Cette oeuvre a été restaurée en 2016-2017 par un élève du Cursus de restauration des oeuvres sculptées de l’ESAD Tours-Angers-Le Mans.
8,40 € / 4,20 € / Gratuité.
Samedi 3 juin, 14h30 > 17h
Est-ce que tu viens pour les vacances ?
Dessinateurs en herbe et amateurs de BD, à vos crayons !
Revisitez les collections du musée sous le regard d’un médiateur et d’un auteur de bande dessinée, Philippe de La Fuente. Le résultat, toujours décalé, se présente sous la forme d’une vignette façon « Manga » conçue en atelier.
Vous avez envie de changer d’air ? Rejoignez-nous pour un voyage en Grèce en « parcourant » des peintures mythologiques. Retrouvez alors nos héros préférés : Hercule et Thésée. Dans l’atelier, imaginez, transformez, mêlez et/ou actualisez les différents mythes : les travaux d’Hercule en mode ninja ou revu avec Batman, , Thésée et le Minotaure le taureau de Marathon !à la poursuivre de Spiderman !
Ado, 6 €
Nombre de places limité à 10 adolescents.
Réservation obligatoire : mba-reservation@ville-tours.fr
Musée pour tous. Dimanche de gratuité
Dimanche 4 juin
Chaque premier dimanche du mois l’’entrée au musée est gratuite. L’occasion de découvrir ou redécouvrir l’ancien palais des Archevêques (4ᵉ - 18ᵉ s.) et les collections de peinture, sculpture, dessin, mobilier, objets d’art, de l’Antiquité à nos jours.
Visites libres et visites-flash au choix
Le musée des Beaux-Arts de Tours est installé dans un bâtiment historique d’une qualité exceptionnelle. Le site est d’une importance capitale pour l’histoire de l’antique Caesarodunum; le musée abrite en ses souterrains la plus belle inscription lapidaire à la gloire des Turons. Les premiers évêques avaient choisi de s’installer à proximité de la cathédrale, dans un palais longeant le rempart du IVe siècle.
Autre vestige de cette période, une chapelle adossée au palais des archevêques datant du IVe s. et reconstruite en 591 sur ordre de Grégoire de Tours. Cet édifice fut transformé au XIIe siècle et en partie détruit au XVIIe siècle lors des aménagements du nouveau palais archiépiscopal de Monseigneur Bertrand d’Eschaux.. Au XIIe siècle fut bâtie l’aile dite du Synode. Constamment transformée au cours des siècles, cette immense salle où se rassemblèrent à deux reprises (1468 et 1484) les Etats généraux du royaume de France est l’un des lieux historiques les plus évocateurs de l’histoire de Touraine.
Monseigneur Rosset de Fleury paracheva l’ensemble grâce à la construction du palais à fronton et attique et l’aménagement des terrasses dont la courbe suit le tracé de l’amphithéâtre romain. Enfin, Monseigneur de Conzié fit élever en 1775, à la place des anciennes écuries, l’imposant portail et l’hémicycle de la cour d’honneur. Il transforma en chapelle archiépiscopale l’ancienne salle du Synode et fit exécuter à cet effet une colonnade à l’antique.
Après 1789, le Palais des Archevêques devient théâtre, Ecole Centrale, bibliothèque puis par arrêté départemental du 6 octobre 1792 et à l’énergie passionnée du fondateur de l’école de dessin de la Ville, Charles-Antoine Rougeot et de son gendre, Jean-Jacques Raverot, devint dépôt des œuvres saisies à la Révolution.
Le musée ouvre au public dès mars 1795, puis est créé officiellement par Décret en 1801. En 1802 et durant tout le XIXe siècle, les bâtiments sont à nouveau affectés à l’archevêché. Ce n’est qu’en 1910 que les collections réintègrent l’ancien palais archiépiscopal.
Le fonds le plus ancien du musée est constitué d’œuvres saisies en 1794 dans les maisons d’émigrés, les églises et les couvents, en particulier les grandes abbayes de Marmoutier, de Bourgueil et de La Riche, ainsi que des tableaux et un exceptionnel mobilier provenant du château de Chanteloup, de Richelieu. Parmi les plus célèbres citons Blanchard, Boucher, Boulogne, Houël, La Fosse, Lamy, Le Sueur, Parrocel, Restout.
Dès 1801 le musée bénéficie de l’envoi, par le Muséum Central, futur Louvre, de trente tableaux dont une série de morceaux de réception de l’Académie royale de peinture (Nattier, Restout, Houasse, Dumont le Romain) composant ainsi un des points forts de la collection de Tours. C’est à cette époque que le musée reçoit l’Ex-voto de Rubens et les chefs-d’œuvre de la Renaissance italienne que sont les deux panneaux d’Andrea Mantegna, Le Christ au Jardin des Oliviers et La Résurrection, panneaux de la prédelle du retable de San Zeno de Vérone.
Au cours du 19e siècle, la ville de Tours acquiert deux lots importants de peintures où le 18e s. français et italien est bien représenté. Dépôts de l’Etat, legs et dons enrichissent le musée tout au long du 19e et 20e s. d’œuvres de Lorenzo Veneziano, Rembrandt, Champaigne, Corneille, Coypel, Ingres, Largillière, Lemoyne, Perronneau, Hubert Robert, Van Loo, Vernet…. Ainsi la collection de peinture française du 18e siècle est l'une des plus importante de France et la collection de peinture italienne la plus riche de la Région Centre.
En 1963 le musée reçoit le legs Octave Linet, augmenté de récentes acquisitions, constituant ainsi une exceptionnelle collection de Primitifs italiens, la plus riche de France après le musée du Louvre. (Lorenzo Veneziano, Naddo Ceccarelli, Niccolo di Tommaso, Lippo Vanni, Lippo d'Andrea, Cecco di Pietro, Giovanni di Paolo, Antonio Vivarini…)
Le dix-neuvième siècle est représenté par l’école néo-classique (Suvée, Taillasson), le romantisme (Vinchon), l’orientalisme (Belly, Chassériau, Delacroix), le réalisme (Bastien-Lepage, Cazin, Gervex) jusqu à l’impressionnisme (Monet, Degas) et en sculpture avec Barye, Bourdelle, David d'Angers, Rodin…
La collection d’œuvres du 20e siècle regroupe les noms de Geneviève Asse, Briggs, Calder, Davidson, Debré, Maurice Denis, Gaumont, Peinado, Seguin, Zao Wou-ki.
Riche de son passé historique, architectural et de son exceptionnelle collection, le musée des Beaux-Arts de Tours compte parmi les plus importants de France. Ouvert sur un jardin à la française et sous l’ombre d’un cèdre classé « Arbre remarquable de France » le musée sait réunir le charme d’un palais et la beauté d’une collection.
Aqua Fortis – eau forte, par la Compagnie Capharnaüm Théâtre / Céline Hoinard
Dimanche 4 juin, 11h > 17h30
Interludes théâtraux durant ce dimanche de gratuité
Inspirées par les oeuvres du musée, peintures, sculptures, sur le thème de l’eau, Céline Hoinard et sa troupe de comédiens en devenir (enfants, adolescents et adultes) nous livrent une série de saynètes engagées et sensibles aux problématiques du monde contemporain (la tragédie des migrants ; la catastrophe climatique)...
Céline Hoinard et sa troupe s’appuient sur des textes de Claudine Galéa Noircisse et Ça ne passe pas, de Baptiste Morizot Manières d’être vivant, de Alice Zeniter Quand viendra la vague, de Bérengère Cournut Zizi Cabane, de Christian Bobin Le plâtrier souffleur ainsi que de la vie de Rachel Carson, pionnière du mouvement écologiste.
Gratuit
Exposer, conserver et publier les collections de dessins du 18ᵉ siècle : projets de recherches récents et expositions en France et aux États-Unis.
Lundi 5 et mardi 6 juin, 9h > 18h
Dans le cadre de l’exposition Promenades de papier, le musée des Beaux-arts de Tours, la Bibliothèque nationale de France et le Clark Art Institute s’associent pour proposer deux journées d’étude consacrées à la question des collections de dessins du 18ᵉ siècle dans les musées et faire le point sur les derniers projets de recherche, d’expositions et d’acquisitions.
Ces rencontres sont rendues possibles grâce au soutien du réseau FRAME.
FRAME est un réseau de trente-deux musées en France et en Amérique du Nord qui encourage les échanges culturels dans le cadre de coopérations entre musées. FRAME favorise les partenariats entre ses membres afin de développer des expositions et des programmes de médiation innovants, et de faciliter les échanges professionnels entre les équipes de ses musées. FRAME est un réseau international unique en son genre qui constitue un vaste pôle de ressources intellectuelles des deux côtés de l’Atlantique.
Gratuit. Nombre de places limité.
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
De fil en aiguille, les Flamands à la mode
> Jeudi 8 juin, 19h > 21 h
Découvrez en avant-première L’étoffe des Flamands. Mode et peinture au 17ᵉ siècle.
Conférence et visite de l’exposition.
Les faces cachées du montage de cette exposition, de sa conception à son ouverture au public, du choix des oeuvres à la réalisation de costumes modernes vous seront dévoilées ! Peintures, dessins et gravures de mode confrontés à des documents historiques (jetons de guilde, lettres d’échanges commerciaux, échantillons textiles...), ainsi qu’à des accessoires de mode, révèlent combien le vêtement est un vecteur de compréhension de la société et plongent le visiteur au coeur des Pays-Bas du 17ᵉ siècle.
À l’issue de cette conférence, déambulez dans l’exposition avant de partager un moment de convivialité autour d’un apéritif !
Par Carole Hirardot, commissaire de l’exposition, responsable des collections 15ᵉ-17ᵉ siècles aux musées du Mans et Alexandra Bosc, conservatrice et commissaire scientifique de l’exposition.
Nombre de places limité.
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
8,40 € / 4,20 € / Gratuité.
Vlieger, huyck, fraises et pourpoints : la mode néerlandaise au Siècle d’or
> Samedi 10 juin, 16h
Que portaient les membres de la bourgeoisie néerlandaise au 17ᵉ siècle ?
Si l’on croit volontiers aujourd’hui qu’en bons protestants, ils ne s’habillaient qu’en noir et blanc, nous verrons ici que la réalité en était plus complexe, et quelles valeurs transparaissaient de ces choix vestimentaires.
En cette période de guerres incessantes, les riches Pays-Bas se singularisent par une industrie textile florissante et des vêtements régionaux spécifiques, oubliés de nos jours. Des somptueuses dentelles aux coûteux voiles de soie (huyck), la bourgeoisie se pare d’atours particulièrement luxueux. Soumis aux influences des modes espagnoles puis françaises qui dominent alors en Europe, les modes néerlandaises n’en développent pas moins certaines spécificités, que nous présenterons en nous appuyant sur des peintures et des gravures, mais aussi en étudiant les rares vêtements et accessoires de mode conservés.
Par Alexandra Bosc, commissaire scientifique de l’exposition L’étoffe des Flamands. Mode et peinture au 17ᵉ siècle.
Nombre de places limité.
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
8,40 € / 4,20 € / Gratuit.
Présentation des projets artistiques et culturels de l’année
Dimanche 11 juin, 14h30 > 17h30
Pour la deuxième année consécutive, le Service des publics du musée des Beaux-arts et ses médiateurs présentent les actions menées avec de nombreux partenaires : crèches, écoles, collèges ou lycées mais aussi des associations accueillant des publics éloignés de la culture ou des établissements médico-sociaux.
Médiations, expérimentations, pratiques artistiques, les séances donnent lieu à une vaste production comprenant peintures, sculptures, modelages, textes et photographies.
Présentées dans les ateliers, ces oeuvres sont à découvrir
tout au long de l’après-midi.
C’est l’occasion pour les familles et tous les curieux, ainsi que les personnes désireuses de construire de futurs projets artistiques et culturels, de découvrir les réalisations plastiques effectuées cette année.
Pour rendre ce moment festif, des ateliers d’arts plastiques (gravure / peinture), un jeu de Memory géant proposé par le Groupe d'Entraide Mutuelle et un spectacle de danse par les élèves de Grande Section et de CP avec la Compagnie IMAGO, dans les jardins du muséesont au programme. Enfin un goûter est offert à tous les enfant à partir de 15h30 !
Gratuit
Journées Européennes de l’Archéologie
> Samedi 17 et dimanche 18 juin
Cette performance est une expérience à vivre dans le souterrain du musée. Cage est un temps suspendu, une lente traversée située dans un entre-deux-mondes. Une «sortie de terre» contemplative d’un corps organique, pictural, sculptural, étrange et mystérieux à parcourir comme paysage. Cette performance, tableau visuel et sonore, est soutenue par la musique abyssale de David Millet et la lumière de Quentin Loyez.
Durée : 27 minutes
Conception et interprétation, Marie Chapron / Co-écriture chorégraphique, Hélène Rocheteau / Création sonore, David Millet / Création lumière, Quentin Loyez
Production déléguée et diffusion : La Belle Orange / Matthieu Roger
À partir de 10 ans. Non accessible aux personnes à mobilité réduite
3 € / 1,50€ / Gratuit. Nombre de places limité
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
15h30 et 16h30, visites guidées du souterrain et des vestiges gallo-romains
Le musée des Beaux-arts de Tours est installé dans un bâtiment historique d’une qualité exceptionnelle. Le site est d’une importance capitale pour l’histoire de l’antique Caesarodunum ; le musée, ancien Palais des Archevêques est construit sur le rempart gallo-romain et abrite en ses souterrains la plus belle inscription lapidaire à la gloire des Turons. «CIVITAS TURONORUM LIBERA», la cité libre des Turons.
La muraille construite sur une trentaine d’année fut achevée au milieu du 4ᵉ siècle. Une série de tours, dont le musée conserve une tour d’angle, renforçaient régulièrement le rempart en partie construit avec des matériaux de récupération, provenant d’édifices publics et temples du 2ᵉ siècle (colonnes, entablements, fragments sculptés...).
Le souterrain du musée fut certainement mis en chantier par les chanoines de la cathédrale pour récupérer des matériaux, mais surtout pour stocker de la nourriture. Cave, réserve, le souterrain fut aussi cachot, afin de mettre au frais quelques personnages indélicats. En témoignent de nombreux graffitis et morceaux sculptés (oiseau, écussons, blason de Tours, tête de diable...).
Nombre de places limité à 18 personnes.
À partir de 10 ans. Non accessible aux personnes à mobilité réduite.
Tarif : 3 € / 1,5 € / Gratuité.
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
Aidez le musée des Beaux-Arts à acquérir l’Archange Gabriel de Vivarini, chef d’oeuvre du 15e siècle italien
05 MAI 2023 > 30 JUIN 2023
Enrichir une collection remarquable
Ce très beau panneau est une oeuvre tardive inédite d’Antonio Vivarini, peintre majeur de la première Renaissance vénitienne.
Cet Archange Gabriel (Tempera et or sur panneau de bois, 63 x 41,5 cm) fait partie d’un polyptyque de quatre panneaux, dont deux sont déjà conservés au musée des Beaux-Arts de Tours.
Avoir la possibilité de réunir ces trois panneaux au sein d’une même collection publique serait une rare opportunité et la réussite de ce projet constituerait un événement exceptionnel.
L’oeuvre est présentée en avant première au musée des Beaux-Arts de Tours dès maintenati !
Ce projet d’acquisition bénéficie du soutien par exceptionnel du Fonds du Patrimoine, Ministère de la Culture
SOUSCRIPTION CITOYENNE
sur le site des Amis du musée : www.abmtours.fr
ou par chèque via le bulletin de souscription