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Accueil > Actualité > News MARS 24
Musée pour tous. Dimanche de gratuité
> Dimanche 3 mars
Visite libre et visites-flash au choix
11h, 12h et 14h30 : Jean Bourdichon, Le Christ bénissant et La Vierge en oraison, (16ᵉ s) OU Georges Clairin, Sarah Bernhardt dans son jardin à Belle-Île (vers 1890)
15h30 et 16h30 : Antiquité gréco-romaine, Apollon Richelieu (1er - 2ᵉ s. ap. J.-C.) OU Anonyme, d’après Gaetano Merchi, Buste de Marie-Madeleine Guimard (18ᵉ s / 1925)
14h, 15h, 16h et 17h : Présentation-flash de la salle réaliste par les étudiantes de l’université de Tours en charge de ce nouvel accrochage
PRINTEMPS DEs POÈTES. Écho d’âmes. Voix de femmes du temps jadis / COMPLET
> Jeudi 14 mars, 19h > 21h
À l’occasion des 25 ans du Printemps des poètes, la comédienne Pascale Sueur, inspirée par l’exposition Le Sceptre & la Quenouille. Être femme entre Moyen Âge et Renaissance, prête sa voix à des poétesses ainsi qu’à de grandes figures féminines historiques de ces périodes.
Ces femmes nous donnent à entendre des voix amoureuses, pieuses, guerrières, tendres, révoltées ou soumises mais toujours passionnées.
Elles soulèvent de grandes questions sur leur condition, la société dans laquelle elles vivent et leur place dans cette société. De ces textes émerge un chant singulier : des voix sensuelles, sulfureuses, romantiques, garçonnes...
Cette expression poétique invite à nous poser la question, à travers les âges, de la place des femmes dans notre société.
Par la compagnie Le Rêve à l’Envers
Moult élixirs et autres breuvages sont proposés en conclusion.
Nombre de places limité.COMPLET
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
8,40 € / 4,20 € / Gratuité
Les Vendredis des ABM : Aux origines de la porcelaine de Limoges ; Baignol père et fils, entre artisanat et industrie
> Vendredi 15 mars, 15h
Étienne Baignol (1750-1822) est le premier grand artisan de la porcelaine de Limoges. Jeune enfant, aux début des années 1760, il est placé en apprentissage dans la faïencerie de Limoges. Doté d’un immense talent, il devient tourneur en chef de la manufacture royale de porcelaine de Limoges à la fin des années 1770. Après la révolution, il ouvre son propre atelier à Saint-Yrieix avant de regagner Limoges en 1797 où il convertit l’ancien couvent des Augustins en manufacture de porcelaine.
Cette fabrique devient la plus prestigieuse manufacture de la ville entre 1800 et 1820. Étienne Baignol et son fils François y produisent les plus belles et audacieuses porcelaines de Limoges. Au décès de son père, François Baignol se lance dans l’industrie en établissant une usine à Saint-Brice-sur-Vienne, toujours en activité aujourd’hui. La troisième génération va même ouvrir une usine dans le pays basque espagnol tandis qu’un cousin fonde son entreprise de matériaux d’écriture à Boulogne-sur-mer.
Par Thomas Hirat, directeur de l’Espace Porcelaine, Limoges
10 € / 5 € pour les ABM et les étudiants
Réservations : www.abmtours.fr / abmtours37@gmail.com / 07 84 65 18 16
Cours d’histoire : Le suicide de Lucrèce. Éros et politique à la Renaissance
> Lundi 18 mars, 19h
L’image de Lucrèce est largement répandue et reproduite. Il n’est pratiquement pas un seul musée d’Europe qui ne possède au moins un tableau figurant le suicide de l’héroïne romaine. Parmi les plus grands, Cranach, Raphaël, Dürer, Sodoma et le Titien en ont donné chacun une ou plusieurs versions. Comment faire d’un geste aussi dramatique que le suicide un objet de contemplation ? Voilà une question à laquelle les artistes se sont confrontés à la Renaissance. Mais, parce qu’il touche à la question tragiquement transhistorique du suicide découlant d’un viol, à ses implications politiques, morales, religieuses et érotiques, il déborde largement le cadre de l’histoire de l’art, et nous offre une fascinante réflexion sur l’ambiguïté des images muettes que nous a léguées la tradition picturale sur ce sujet, sans doute plus légendaire qu’historique.
Par Henri de Riedmatten, professeur assistant en histoire de l’art de la période moderne à l’université de Genève
Nombre de places limité.
Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
8,40 € / 4,20 € / Gratuité
Visite commentée de l’exposition Le Sceptre & la Quenouille. Être femme entre Moyen Âge et Renaissance
Samedi 23 mars, 14h30.
Cette exposition exceptionnelle consacrée aux femmes entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance, en France et en Europe du Nord, met en lumière la place, le rôle et l’image des femmes dans la société des 15ᵉ et 16ᵉ siècles. Le propos s’appuie sur les nombreuses avancées historiques des dernières décennies.
Plus d’une centaine d’oeuvres majeures - peintures, sculptures, manuscrits, estampes, objets du quotidien - issues des plus grands musées, sont rassemblées pour l’occasion.
Toutes les femmes trouvent leur place au coeur du parcours :
princesses, nobles et bourgeoises, commerçantes et paysannes, riches et pauvres, heureuses et malheureuses, au pouvoir ou au travail, épouses ou veuves, réelles ou imaginaires.
Cette exposition remet en cause les clichés et les idées reçues. Elle propose un regard nouveau sur les femmes des époques médiévale et moderne, abordées dans toute leur profondeur, et offre une remise en perspective historique à un enjeu majeur de nos sociétés contemporaines.
Ainsi, plus de dix ans après l’exposition Tours 1500. Capitale des arts, le musée des Beaux-arts renoue avec cette période fondamentale qu’est la Renaissance pour l’histoire de la ville et de sa région.
Sans réservation / 8,40 € / 4,20 € / Gratuité
Une Heure / Une OEuvre : La Cité des dames de Christine de Pizan : une oeuvre féministe ?
Samedi 23 mars, 16h
Considérée comme l’une des premières autrices à avoir vécu de sa plume, Christine de Pizan (Venise, 1364 - monastère de Poissy, vers 1430) compose vers 1404-1405 une longue apologie de la dignité des femmes : La Cité des dames.
Au fil du temps, cette œuvre allégorique complexe a fait l’objet de lectures diverses et contradictoires. Si certains commentateurs modernes y voient le premier texte féministe de la littérature française, d’autres pointent une relative complaisance envers l’ordre patriarcal.
Pour l’historien médiéviste, se pose surtout la question de l’écho réel qu’a pu avoir un tel texte dans la pensée dominante de l’époque. Une façon d’y répondre est d’étudier la réception de l’oeuvre par les concepteurs et les lecteurs des manuscrits qui la contiennent. En examinant en détail quelques copies enluminées de La Cité des dames conservées à la Bibliothèque nationale de France, en particulier celles présentées dans l’exposition Le Sceptre & la Quenouille, la conférencière montre comment ce monument de notre patrimoine littéraire a été lu, compris et transmis par les copistes, enlumineurs et bibliophiles du 15ᵉ siècle.
Par Laure Rioust, conservatrice du patrimoine, Bibliothèque nationale de France, département des Manuscrits,
Nombre de places limité. Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
8,40 € / 4,20 € / Gratuit
Les Visiteurs du soir : Compositrices et poétesses à la Renaissance
> Jeudi 14 mars, 19h > 21h
À l’occasion des 25 ans du Printemps des poètes, la comédienne Pascale Sueur, inspirée par l’exposition Le Sceptre & la Quenouille. Être femme entre Moyen Âge et Renaissance, prête sa voix à des poétesses ainsi qu’à de grandes figures féminines historiques de ces périodes.
Ces femmes nous donnent à entendre des voix amoureuses, pieuses, guerrières, tendres, révoltées ou soumises mais toujours passionnées.
Elles soulèvent de grandes questions sur leur condition, la société dans laquelle elles vivent et leur place dans cette société. De ces textes émerge un chant singulier : des voix sensuelles, sulfureuses, romantiques, garçonnes...
Cette expression poétique invite à nous poser la question, à travers les âges, de la place des femmes dans notre société.
Par la compagnie Le Rêve à l’Envers
Moult élixirs et autres breuvages sont proposés en conclusion.
Nombre de places limité.. Sur réservation : mba-reservation@ville-tours.fr
8,40 € / 4,20 € / Gratuité
Les Vendredi des ABM : De l’ange déchu au monstre cornu, l’histoire de l’iconographie diabolique
> Vendredi 29 mars, 15h.
Dans la Bible, le diable est nommé l’« adversaire », l’« accusateur » ou Satan, mais il n’est jamais décrit. Il est uniquement mentionné par les effets qu’il provoque. Au moment de la mise en place de l’iconographie chrétienne dans les premiers siècles de notre ère, le champ est donc laissé libre aux artistes et théologiens pour inventer l’apparence de celui qui incarne le Mal. Son image, d’abord rare, se construit au fil des siècles. Du 11ᵉ au 15ᵉ siècle, il est omniprésent : sculptures, vitraux, peintures, mosaïques, enluminures… Les artistes inventent le monstre cornu, griffu, doté d’ailes de chauves-souris, qui se métamorphose en chat noir ou en bouc. Au 19e siècle, la représentation de Lucifer, rebelle déchu et mélancolique, devient une allégorie de l’homme moderne. De nos jours, la culture populaire combine de nombreux éléments de cette longue et riche histoire.
Par Alix Paré, historienne de l’art, spécialiste de peinture européenne (17ᵉ - 20ᵉ siècles)
10 € / 5 € pour les ABM et les étudiants
Réservations : www.abmtours.fr / abmtours37@gmail.com / 07 84 65 18 16
Visite commentée de l’exposition Le Sceptre & la Quenouille. Être femme entre Moyen Âge et Renaissance
> Samedi 30 mars, 14h30.
Cette exposition exceptionnelle consacrée aux femmes entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance, en France et en Europe du Nord, met en lumière la place, le rôle et l’image des femmes dans la société des 15ᵉ et 16ᵉ siècles. Le propos s’appuie sur les nombreuses avancées historiques des dernières décennies.
Plus d’une centaine d’oeuvres majeures - peintures, sculptures, manuscrits, estampes, objets du quotidien - issues des plus grands musées, sont rassemblées pour l’occasion.
Toutes les femmes trouvent leur place au coeur du parcours :
princesses, nobles et bourgeoises, commerçantes et paysannes, riches et pauvres, heureuses et malheureuses, au pouvoir ou au travail, épouses ou veuves, réelles ou imaginaires.
Cette exposition remet en cause les clichés et les idées reçues. Elle propose un regard nouveau sur les femmes des époques médiévale et moderne, abordées dans toute leur profondeur, et offre une remise en perspective historique à un enjeu majeur de nos sociétés contemporaines.
Ainsi, plus de dix ans après l’exposition Tours 1500. Capitale des arts, le musée des Beaux-arts renoue avec cette période fondamentale qu’est la Renaissance pour l’histoire de la ville et de sa région.
Sans réservation. 8,40 € / 4,20 € / Gratuité
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